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4 bonnes raisons de visiter l’Irlande (et je ne parle pas de Guinness, promis !) :

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Je me suis rendu en Irlande pour la première fois lors de l’hiver 2011, juste avant Noël. Je ne sais pas trop pourquoi j’ai choisi cette période de l’année alors que je savais pertinemment qu’il allait faire un temps exécrable, mais ça n’empêche : j’ai passé un excellent séjour, dans la petite ville de Clonakilty, près de Cork (au sud de l’île).

Mon premier voyage en Irlande m’ayant donné des envies, je me suis promis que je reviendrais pour approfondir ma connaissance du pays. J’ai succombé aux charmes de l’île verte pour ces 4 raisons :

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8 conseils pour voyager quand on est malade :

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J’ai passé une bonne partie du mois de septembre en France, au cours duquel on m’a diagnostiqué une maladie. Pas particulièrement grave, mais bien chiante. Et qui risque de durer assez longtemps.

J’ai beaucoup hésité avant de continuer mes voyages, et d’emménager en Espagne pour finir l’année 2012. Et puis, après avoir consulté mon médecin pour la Nième fois en 2 semaines, j’ai acheté le billet d’avion et je suis parti.

Les deux premières semaines sur place se sont passées à peu près correctement, les symptômes se faisant relativement discrets. A part des grosses, très grosses fatigues (mon premier week-end sur place, j’ai dormi pendant quasiment 48 heures d’affilées, ne me réveillant que pour manger un morceau et aller aux toilettes), on va dire que ça va.

Pourtant, j’étais pas particulièrement rassuré de partir vivre à l’étranger tout en étant malade. Alors j’ai mis le paquet pour éviter les ennuis si mes symptômes s’aggravaient sur place.

Voici quelques conseils à suivre pour voyager tout en étant malade :Lire la suite »8 conseils pour voyager quand on est malade :

Visiter Budapest en hiver : comment j’ai fait 2000 km pour me retrouver… à Paris, ou presque :

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Il y a 24 heures pile, je me caillais les miches sous le grand panneau d’affichage ultramoderne de la gare du Nord, en attendant mon TER pour Beauvais.

Ce matin, alors que la ville était encore endormie (d’ailleurs se réveille-t-elle à un moment ?), je mangeais un pain au chocolat en essayant de faire abstraction des relents immondes de l’usine Spontex (ça devrait être interdit de se faire agresser olfactivement comme ça dès le réveil !). Dans le brouillard (ça c’est moi), sous la pluie (ça c’est la Picardie), je prenais la direction de l’aéroport.

2 heures et 2000 km plus loin, me voila… à Paris !

Sans rire : en arrivant dans le centre de Budapest, j’ai eu l’impression d’avoir été téléporté dans une sorte de dimension parallèle, où Paris aurait été vidé de ses habitants et remplacé par des hongrois moins stressés et plus gentils.Lire la suite »Visiter Budapest en hiver : comment j’ai fait 2000 km pour me retrouver… à Paris, ou presque :