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Rencontres

Venise, cette ville que j’aurais adoré détester :

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C’est un fait : je déteste les spots touristiques. La foule de badauds le nez en l’air avec l’appareil photo autour du cou, ça m’énerve. Vraiment.

Depuis que je m’en suis aperçu, j’ai pris l’habitude de voyager en dehors des sentiers battus. Je sais que je loupe probablement des trucs sympas, mais j’évite aussi un paquet d’attrape-nigauds (hein le London Eye à Londres par exemple). Et surtout j’esquive la masse de Jean-Claude Duss venus passer leurs vacances avec tout plein d’autres Jean-Claude Duss.

Bref, comme dirait Kyan Khojandi, j’aime pas les spots touristiques.

Alors comment j’en suis arrivé à visiter Venise, et à faire de cette ville l’un de mes meilleurs souvenirs de voyage ? Voici la réponse.

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Découverte de Tartu : 3 jours intenses et une gueule de bois

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Ce samedi matin, je me réveille avec une barre dans la tête. Il est midi, le soleil brille, et j’ai la gueule de bois. Trois jours à Tartu, et voila le résultat. Quand on descend du bus, Tartu ressemble à une petite ville tranquille. Presque un village, avec sa rivière qui serpente, ses rives aménagées, ses mamans et leurs poussettes.

On ne se méfie pas.

En fait, Tartu est explosive. Presque dangereuse.

Trois jours plus tôt, je rejoignais Mariliis, ma couchsurfeuse, sur la place centrale de Tartu. Pas trop compliquée à trouver, cette ville est littéralement minuscule. Et pourtant c’est la deuxième du pays. Fringues colorées, frange de hippie et grand sourire : elle descend de son vélo et m’emmène picniquer au bord de la rivière.Lire la suite »Découverte de Tartu : 3 jours intenses et une gueule de bois

Visite de Pise : des géants allemands et des touristes poseurs :

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Je quitte à regret Cinque Terre et ses villages encastrés dans la montagne, pour prendre la direction de Pise et de sa tour penchée.

D’abord, je dois quand même préciser que je n’ai jamais été particulièrement attiré par cette bâtisse construite de travers. Mon truc, c’est plutôt de sentir l’atmosphère d’une ville en me promenant dans ses vieux quartiers. D’observer les habitants, leurs habitudes, leur façon d’être et de vivre. Les monuments ne sont pas ma priorité quand je voyage, et si une loi m’interdisait de passer par les musées et les monuments d’une ville, je m’en accommoderais très bien.

Tout commence donc dans le train qui m’emmène à Pise. En montant dans mon wagon, je me cogne involontairement dans le sac à dos d’un grand blond avec deux chaussures noires (de randonnée). C’est un allemand, il s’appelle Bernie, mais je ne le sais pas encore.Lire la suite »Visite de Pise : des géants allemands et des touristes poseurs :

Auberge de jeunesse : quel compagnon de dortoir es-tu ? Fais le test !

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Chaque fois que je me réveille dans une auberge de jeunesse, je me jure que je n’y mettrais plus jamais les pieds. Et pourtant, à chaque fois je finis par y retourner, d’une manière ou d’une autre.

La dernière fois que j’y suis allé, c’était pendant la première étape de mon roadtrip en Espagne, à Malaga (à la deuxième étape, j’ai préféré dormir à la belle étoile sur le sable de Marbella).

Moi qui ai le sommeil léger, je ne dors jamais aussi mal que dans les dortoirs d’auberges de jeunesse. Voici 4 types de personne que l’on croise lors d’une nuit dans un dortoir :Lire la suite »Auberge de jeunesse : quel compagnon de dortoir es-tu ? Fais le test !

Reconnaître un français à l’étranger : ce qui nous trahit !

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Les français sont nuls en langue. Vraiment.

 

Bon, ça c’est pas une surprise. La surprise, c’est que tout le monde est réellement meilleur que nous. En tout cas en Europe.

Et franchement, c’est terrifiant.

Depuis mon arrivée en Suède, j’ai rencontré pas mal d’étrangers, de voyageurs, etc. Et à chaque fois, j’avais l’impression d’être celui qui galérait le plus.Lire la suite »Reconnaître un français à l’étranger : ce qui nous trahit !