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Apprendre l’anglais sous le soleil de Malte, ça vous tente ?

Je m’apprête en ce moment même à décoller pour la Hongrie.

Et vous vous en doutez : je ne parle pas un mot de hongrois.

Sans rire, pas un mot : j’ai beau essayer de comprendre comment on dit « bonjour« , y’a trop de K, de Z et de U avec un accent du mauvais côté (oui, l’accent de notre ù penche vers la droite, donc si on rencontre un U avec un accent côté gauche, c’est qu’il est du mauvais côté, nan ?). Impossible de faire rentrer dans ma tête quoi que ce soit de cette langue étrange. J’ai lu je ne sais plus où que c’était probablement la langue européenne la plus difficile avec le finnois. Bah tiens, ça m’étonne pas.

Bref, du coup, ça ne surprendra personne si je vous dis que je mise tout sur l’anglais pendant mon séjour à Budapest.

Sauf que, hé, l’anglais, il n’est pas venu comme ça, d’un claquement de doigts.

Il a bien fallu l’apprendre à un moment donné. Et, croyez moi, c’est pas sur les bancs de l’école que ça s’est passé.

Mes profs d’anglais à moi ? Jack Shephard, Barney Stinson et Dexter Morgan.

Ok, dis comme ça, ça fait classe. Je vous rassure, ils ne sont pas venus me donner des cours privés dans mon salon.

Si la perspective de vous taper 8 saisons de How I Met Your Mother ne vous enchante guère, rassurez vous : il y a une autre solution. Plus rapide, plus ensoleillée, et moins dangereuse pour votre vie sociale (parce que Lost et Dexter, niveau addiction, c’est corsé !).

Il s’agit de prendre des cours d’anglais, en mode immersion totale, avec des étudiants motivés par le même but que vous : être capable de comprendre et d’être compris dans la langue de Shakespeare (un jour, faudra que je songe à trouver un autre type que ce pauvre Shakespeare pour parler de l’anglais – des idées ?).

L’avantage de ce mode d’apprentissage : c’est intensif, on ne se laisse pas le choix, et on est porté par le flux de motivation des autres étudiants.

Quand je suis parti en Suède, j’ai sous-loué l’appartement d’une suédoise qui partait faire ce type d’immersion linguistique… en France. Avant de partir, elle savait juste dire « Bonjour » (avec un accent charmant, j’avoue). En revenant de ses deux mois d’immersion, on a discuté autour d’un café pendant une heure… en français. J’ai halluciné.

Et si vous êtes motivés, vous y arriverez aussi bien qu’elle.

Si cette solution – intense, certes, mais ô combien efficace – vous intéresse, alors autant vous y mettre sérieusement et vous rendre dans un cadre paradisiaque. Comme son nom l’indique, Maltalingua (dont le site se trouve ici : http://www.maltalingua.fr/) est une école basée sous le soleil de Malte, à moins de 100 mètres de la mer. Elle offre un cadre idyllique à tous ceux désireux d‘apprendre la langue de David Beckham (c’est mieux que Shakespeare ? Ouai, bof, nan hein ?).

En sortant d’un stage intensif chez Maltalingua, vous aurez un niveau d’anglais qui vous permettra de partir dans n’importe quel pays du monde et de vous faire comprendre avec des autochtones qui n’ont rien trouvé de plus intelligent que d’inventer une langue incompréhensible.

Un peu comme les hongrois, quoi.

Allez, à bientôt avec des nouvelles fraîches du Danube !