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Les quartiers de Rome à éviter : guide complet pour savoir où mettre les pieds

Vous vous demandez quels sont les quartiers de Rome à éviter, que ce soit pour l’hébergement, pour sortir ou pour les visites ?

Si vous êtes préoccupé par votre sécurité, vous tombez bien : dans cet article, je vous explique précisément quels sont les quartiers chauds de Rome, les endroits dangereux la nuit, les zones où il faut être sur ses gardes et les lieux à éviter totalement.

Je vous partage, aussi, tous mes conseils pour visiter Rome en toute sécurité (il y a quelques petites arnaques à connaître).

Prêt ? Alors on y va !

Infos rapides :

> Mon guide complet de Rome est à lire ici. Vous y trouverez les immanquables à visiter, mes bonnes adresses pour manger, pour vous loger, mes conseils pour vous déplacer, etc. A lire absolument !

> Rome est plutôt une ville sûre et les quartiers à éviter sont loin du centre historique.

> Je vous conseille de loger dans le quartier de Trastevere (voir ici), un des plus sûrs de Rome (et un des plus charmants, en tout cas c’est celui que je préfère).

> Pour réserver vos activités et vos visites, passez par ce site là. Vous y trouverez les tickets d’entrée pour la plupart des monuments de Rome, avec des options coupe-file et des visites guidées en français.

> Si vous voulez emmener un guide papier dans la poche pour votre séjour romain, je vous conseille cette édition du Routard.

Les quartiers chauds du centre de Rome

Rome est une grande ville, et il y a de nombreux quartiers à éviter dans sa zone périphérique. Mais en tant que touriste, ce ne sont pas des zones où on se rend souvent. Dans cette première partie, je vais d’abord vous détailler les quartiers où vous avez le plus de chance de vous retrouver en tant que simple visiteur, même si ce ne sont pas les quartiers les plus dangereux de Rome (tant mieux).

> Le quartier autour de la gare Termini

Crédit photo : depositphotos.com

D’abord, le premier quartier qu’il est préférable d’éviter, c’est celui de Esquilino, où se trouve notamment la gare de Roma Termini (la principale gare de Rome). Comme toutes les gares de toutes les grandes villes d’Europe occidentale, elle est mal fréquentée et les mauvaises rencontres y sont malheureusement monnaie courante.

Dans ce quartier, évitez en particulier la piazza Vittorio et le parc Calipari, où ça traîne vraiment beaucoup, même en journée.

La nuit, surtout si vous êtes seul (et encore plus si vous êtes une femme), je vous conseille vraiment de redoubler de vigilance dans les environs de la gare (ou idéalement de l’éviter complètement). N’hésitez pas à changer votre itinéraire si vous apercevez des groupes ou des gens dont le comportement vous semble étrange. Mieux vaut passer pour parano que se faire agresser (en tout cas c’est mon point de vue).

Pour vous donner un point de comparaison, on pourrait dire que le quartier de la gare de Roma Termini ressemble un peu, en terme d’insécurité, aux environs de la gare du Nord, à Paris. Si ce genre de quartier de vous inquiète pas, sachez que c’est un endroit assez pratique pour se loger à pas trop cher tout en restant à proximité des lieux touristiques.

> Le quartier de San Lorenzo

Juste de l’autre côté de la gare en direction de l’est (donc opposé aux quartiers historiques de Rome), il y a le quartier de San Lorenzo. Alors, à la base, San Lorenzo est un quartier étudiant et fêtard, donc plutôt agréable pour sortir et s’amuser. On y trouve pas mal de bars et de restos à l’ambiance très sympa.

Mais à partir d’une certaine heure, ou bien dans certaines rues près de la gare à la nuit tombée, vous n’êtes malheureusement pas à l’abri de croiser des types mal intentionnés. Clairement, le terme « dangereux » n’est pas approprié pour définir ce quartier : San Lorenzo n’est pas un coupe-gorge, donc soyez rassuré si vous devez y passer même de nuit. Mais il fait quand même parti des quartiers potentiellement « sensibles » de la zone centrale de Rome, où il n’est pas rare de se rendre en tant que touriste. Si c’est le cas, soyez vigilant, tout de même.

>> Loger dans un de ces deux quartiers, à éviter ?

Si vous venez de réaliser que votre hôtel se trouve dans l’un de ces deux quartiers, pas de panique et pas besoin d’annuler votre réservation. Vous êtes encore loin des quartiers chauds de Rome, que je vous présente un peu plus bas. Soyez simplement vigilant quand vous sortez/rentrez de votre hébergement et sur les quelques rues qui vous séparent du centre historique, et tout ira bien. Et si vous n’avez pas encore réservé votre hébergement, allez plutôt voir dans ce quartier (Trastevere), mon préféré de Rome !

> Le quartier de Tiburtino

Situé au nord de San Lorenzo, juste après la gare de Termini, le quartier de Tiburtino est à éviter également, mais là on commence à s’éloigner sérieusement des parcours habituels des touristes venus visiter Rome, donc vous ne devriez pas trop vous retrouver par là-bas. Je le mentionne quand même car, vu sa proximité avec le centre historique, l’idée d’y loger pourrait venir à certains d’entre vous, donc autant que vous soyez au courant : c’est pas le Bronx, mais c’est pas hyper safe non plus.

Pour info, il y a une gare ici (la gare de Roma Tiburtino) qui a des liaisons directes avec l’aéroport de Fiumicino via les trains régionaux. Donc selon le moyen de transport que vous choisissez pour rallier Rome depuis l’aéroport, il n’est pas impossible que cela soit votre gare d’arrivée. Auquel cas, soyez vigilant quand vous sortirez du train, surtout si vous arrivez en fin de journée ou à la nuit tombée.

Les vrais quartiers dangereux (et à éviter) de Rome :

Crédit photo : depositphotos.com

J’ai une bonne nouvelle : les quartiers de Rome à éviter, ceux qui sont vraiment dangereux, ne sont pas du tout sur les chemins touristiques classiques. Ça serait un peu comme si, lors d’un séjour à Paris, des touristes allaient visiter certains quartiers chauds de Seine-Saint-Denis, c’est quasi impossible.

> Les quartiers à éviter à l’est de Rome

Globalement, les zones que je vous conseille d’éviter sont à l’est du cœur historique. Parmi les quartiers dangereux de Rome, il y a le quartier San Basilio au nord-est de la ville, qui est vraiment réputé pour être l’un des plus criminogène de la capitale. Évitez aussi de vous rendre à Tor Bella Monaca, Centocelle, Torre Maura, Tor Sapienza ou encore Torre Angela, qui se trouvent tous assez loin à l’est du centre ville. Impossible de s’y rendre par erreur, rassurez-vous : on est au-delà du périph’ de Rome, là. On ne s’y rend pas par hasard.

> Les quartiers à éviter au sud de Rome

Autre zone à connaître, et à éviter, c’est le quartier de Corviale, qui se trouve au sud-ouest du centre historique, et qui est réputé comme l’un des plus dangereux de Rome. Je vous déconseille vraiment de vous rendre par là-bas, il n’y a rien à y faire en terme touristique, et le taux de criminalité est l’un des plus élevé de la ville.

Le quartier de Ostiense, où se trouve la gare de Rome du même nom, est parfois réputé pour ne pas être très sûr non plus. Ce n’est pas une surprise : les gares sont rarement des lieux très safe en Europe de l’ouest. Même si on est loin des niveaux d’insécurité des quartiers mentionnés précédemment. Je tenais à vous en parler car c’est une gare qui est régulièrement empruntée par les touristes en raison de la ligne de train qui va jusqu’à l’aéroport de Fiumicino. Prudence, donc, si cela devait être votre cas.

Enfin, il y a au sud de Rome les « quartiers rouges », qui sont eux aussi à éviter autant que possible, et dont je vais vous reparler un peu plus bas dans cet article.

Voilà en gros pour les quartiers de Rome à éviter en dehors du centre historique. Je précise tout de même qu’il ne s’agit pas là d’une liste exhaustive, évidemment. Et ce n’est pas non plus une sentence implacable : vous pourriez très bien circuler dans ces quartiers sans avoir de problème, et vous faire agresser en plein centre historique. Mais d’une manière générale c’est comme ça que fonctionne Rome : plutôt safe au cœur, plutôt chaud sur les extérieurs, en particulier à l’est et au sud.

Le quartier rouge de Rome, zone à éviter ?

Crédit photo : depositphotos.com

En 2015, le maire de Rome a décidé de légaliser la prostitution dans un quartier spécifique de Rome, le quartier de l’EUR (qui était déjà, de base, gangréné par ce fléau). C’était suffisant pour faire le buzz dans les médias, y compris en France, chacun expliquant que Rome allait devenir la nouvelle Amsterdam. C’était assez pathétique de mon point de vue, surtout que le quartier ne s’est absolument pas transformé suite à cette annonce, et ne mérite aucunement l’appellation de « quartier rouge de Rome » que certains ont tenté de lui donner (je me demande bien pourquoi, Rome a tellement à offrir, pas besoin de ce genre de « publicité »…).

> Quelles rues éviter dans le quartier rouge de Rome

Les rues à éviter, dans ce quartier, sont les rue Viale America et Viale Tupini, deux grands boulevards bordés d’immeubles aux allures glauques, ainsi que les rues Viale della Tecnica et Viale Egeo. En journée, à la rigueur, ça va encore à peu près, mais la nuit il faut vraiment les éviter sinon vous allez tomber dans des embrouilles. Si vous lisez l’italien, cet article décrit très bien le problème lié à la prostitution dans le quartier de l’EUR.

Notez, si vous êtes intrigué par le nom, que le quartier de l’EUR n’a rien à voir avec l’euro. Le sigle EUR est pour « Esposizione Universale di Roma », quartier où devait se tenir l’exposition universelle de Rome, en 1942 (annulée pour cause de seconde guerre mondiale). Le quartier lui-même a été bâti en l’honneur de Benito Mussolini, se voulant être une vitrine de l’architecture fasciste.

Aujourd’hui, l’endroit est visitable en journée sans risque à part les rues que j’ai mentionnées, mais il faut aimer les constructions monolithiques, de marbre blanc. De mon point de vue, selon de combien de jours vous disposez pour visiter Rome, ce n’est pas un indispensable, loin de là, surtout qu’il se trouve assez loin au sud de tous les autres points d’intérêt de Rome.

> Deux autres « quartiers rouges » existent à Rome

Cependant, le quartier de l’EUR n’est pas le seul de Rome à être considéré comme un quartier rouge. Les quartiers de Marconi et de San Paolo, tous deux situés au sud du Rome historique, coincés entre le très chic quartier de Monteverde et celui de l’EUR que je viens de décrire, bénéficient aussi de ce surnom (et pourtant, là encore, rien à voir avec le quartier rouge d’Amsterdam !).

Dans ces deux quartiers, c’est principalement sur la Viale Marconi (un grand boulevard qui traverse les deux quartiers en leur coeur) qu’il est déconseillé de se promener le soir au risque d’y croiser des gens peu recommandables. Dans cet article un habitant déclare que la situation dégénère tous les soirs à partir de 22 heures. Si vous devez passer par la station de métro Marconi, soyez donc vigilant en particulier à la nuit tombée.

Mais encore une fois, n’allez pas imaginer que ces quartiers rouges de Rome ressemblent même un tout petit peu à ce que vous pourriez trouver en allant dans le quartier rouge d’Amsterdam. Ici pas de boutique, pas de néon rouge, pas d’ambiance particulière (si tant est qu’on puisse dire ça…), là dans ces trois quartiers de Rome c’est juste dangereux et glauque, rien d’autre. Donc à éviter.

Quelle insécurité dans les quartiers du centre historique de Rome ?

Voici ce que l’on rencontre principalement comme insécurité dans le centre historique de Rome, en tant que touriste.

Si ce n’est pas déjà fait, allez lire mon guide ultra-complet de Rome, avec les immanquables de votre visite de la ville, mes bonnes adresses pour bien manger, mes conseils pour se loger, etc. Ça va vraiment vous aider à préparer votre séjour !

> Les pickpockets

Des pickpockets sévissent en permanence à Rome, en particulier dans les zones où la foule est compacte. Soyez notamment hyper vigilant dans le quartier de la fontaine de Trévi, où il n’est pas rare d’être agglutiné et où les pickpockets s’en donnent à cœur joie. La vigilance est également recommandée autour du Colisée et dans les longues files d’attente du Vatican, même si la police veille.

Pour éviter les pickpockets, je vous conseille de veiller à avoir toujours vos sacs bien fermés, et à la vue. Donc n’hésitez pas à porter vos sacs à dos devant vous plutôt que derrière, en particulier dans les zones que je viens de mentionner, et tant pis si vous pensez que vous avez l’air ridicule : c’est toujours mieux que de se faire dépouiller.

> Les arnaques au bracelet

Alors eux, à Rome, ils sont vraiment pénibles. Pas par l’arnaque en tant que telle, qui est facile à éviter, mais surtout parce qu’ils sont des dizaines à la pratiquer dans le centre historique de Rome, et qu’on se fait accoster tous les 200 mètres.

Je vous explique le topo en gros. Un gars sorti de nulle part vous aborde avec un grand sourire, « hééé salut mon pote« . Vous, poli, vous répondez un simple « bonjour« , et c’est fichu : il enchaîne. « Oh, mais t’es français ? J’adooooore la France, tu viens d’où ?« . Quelle que soit la ville que vous nommez, il a un cousin là-bas, il adore la France, blablabla, et à un moment il vous fait un « check » ou il vous serre la main. Là c’est foutu, si vous avez le malheur d’accepter la poignée de main, en un quart de seconde il va vous mettre un bracelet dessus, du genre « bracelet de l’amitié ». Un truc impossible à enlever à moins de le couper. Et là, le ton change complètement, vous n’êtes plus son grand pote mais un client, et il veut se faire payer pour son bracelet. Et le gars ne va pas en démordre : tant que vous ne lui lâchez pas quelques pièces, il va vous harceler avec plus ou moins de véhémence. Si vous n’avez vraiment pas de bol, il va même avoir quelques collègues pas loin qui vont venir vous mettre la pression. Bref, pas le choix : il faut lâcher quelques euros au bonhomme, qui repart ensuite, plus souriant du tout.

Bref, c’est pas très méchant mais c’est assez vicelard parce que plus vous êtes quelqu’un de gentil et de poli (= qui répond à un « bonjour » quand on lui en adresse un), plus vous allez vous faire harceler. La solution que j’ai trouvée, c’est de répondre toujours avec un grand sourire (on ne se refait pas) mais de ne pas m’arrêter quand ils bloquent le chemin, et d’être cash : « je connais ton truc du bracelet, ça marche pas sur moi, trouve quelqu’un d’autre, bonne chance à toi !« , toujours en étant hyper souriant et en essayant de dégager de la sympathie. Et surtout, en refusant net la poignée de main, quitte à lui mettre un énorme vent malpoli. Ils n’insistent pas, généralement.

> Les vendeurs à la sauvette

Autour des principaux monuments de Rome, vous serez souvent interpellé, aussi, par des vendeurs de billets à la sauvette. Conseil basique : ne leur achetez jamais rien. Soit les billets ne fonctionnent pas, soit ils fonctionnent mais ils ont été achetés sur la base de tarifs réduits (prix pour les enfants, les demandeurs d’emploi, etc) dont vous ne pourrez généralement pas bénéficier, et donc vous serez refoulé à l’entrée faute de pouvoir prouver que vous bénéficiez du droit à avoir un tarif réduit.

Alors je sais, ça peut être tentant car vous allez avoir l’impression de faire une bonne affaire (« oh une visite guidée du Vatican pour 10€ au lieu de 30, génial » !), mais si on vous refuse l’accès au monument, vous allez avoir du mal à retrouver le type pour le SAV.

Bref, achetez vos billets pour les monuments de Rome sur internet, sur des sites reconnus tels que GetYourGuide ou Tiqets, et tout ira pour le mieux.

> Rome la nuit, dangereux ?

A titre personnel, j’ai trouvé que Rome était plutôt sûre, de jour comme de nuit. Et pourtant, j’ai traversé la ville de nuit pour aller à un concert dans le quartier de San Lorenzo, de l’autre côté de la gare Roma Termini (je logeais dans le quartier de Trastevere).

Alors c’est sûr : dans le quartier de la gare, il y a plein de gens louches qui traînent et qu’on n’a pas du tout envie de croiser. Dans le centre historique, tant qu’on est dans les endroits où il y a des touristes, ça va, mais quand on se retrouve dans des ruelles un peu plus isolées, avec l’éclairage plutôt tamisé, je suis obligé de reconnaître qu’il y a un petit coin de notre cerveau qui est sur ses gardes.

Mais globalement, de nuit, en tant que touriste, Rome reste une ville agréable pour flâner, même si on n’est jamais à l’abri d’être au mauvais endroit au mauvais moment.

Pour résumer : la carte des quartiers de Rome à éviter

Voici une petite carte, faite maison, pour vous aider à situer les différentes zones que j’ai évoquées dans cet article. Pour résumer, les quartiers du centre historique ne présentent pas de danger particulier, soyez juste vigilant dans la foule avec les pickpockets, même si la police locale veille.

Légèrement en dehors du centre, soyez vraiment prudent autour de la gare de Roma Termini, de jour comme de nuit, et soyez vigilant si vous traversez le quartier San Lorenzo à une heure tardive. Autrement, les quartiers de Rome à éviter se trouvent trop loin du centre historique pour que vous vous y retrouviez par hasard ou même par erreur.

Voilà, j’espère que cet article vous aura aidé à préparer votre séjour à Rome, et à vous rassurer si jamais vous craigniez pour votre sécurité, car Rome est une ville plutôt sûre dans l’ensemble (bien plus que Paris, sans aucun doute).

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Voilà, il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne visite de Rome !

A bientôt sur le blog,

Jérémy