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La Croatie hors saison : avantages, inconvénients, et avis perso détaillé

La Croatie est un pays magnifique, qui regorge de trésors à découvrir tout au long de l’année. Si vous envisagez de partir en Croatie hors saison et que vous vous demandez si cela vaut le coup, alors vous tombez bien : dans cet article, vous trouverez les avantages et les inconvénients de partir en Croatie hors de la saison touristique (juillet-août), ainsi que quelques conseils pour réussir votre séjour.

Les avantages de partir en Croatie hors saison

Voici d’abord, à mon sens, les avantages de partir en Croatie hors de la saison touristique (juillet-août). Notez, tout de même, que les éléments suivants sont à pondérer selon la période à laquelle vous partez. Si vous venez la dernière semaine de juin ou la première de septembre, vous aurez sensiblement les mêmes inconvénients qu’en plein cœur de la saison touristique. Si vous venez en novembre ou en mars par exemple, les avantages que je détaille ci-dessous seront d’autant plus vrais, mais les inconvénients (que j’évoque plus bas) seront aussi plus marqués. Tout est donc une question de dosage.

> Des prix moins agressifs

Croatie hors saisonUne bière au bord de l’eau, sur l’île de Brač, début octobre…

Le premier élément qui varie de manière notable, c’est le prix. En haute saison, les tarifs en Croatie explosent littéralement. Que ce soit l’hébergement, les activités (les billets d’entrée des parcs nationaux en particulier), ou la restauration, les tarifs pratiqués en juillet-août sont dopés à un point qui dépasse parfois l’entendement.

Pour l’hébergement, c’est plutôt logique : la demande est forte, et les hôtels/airbnbs n’ont pas des dispos illimités, donc forcément les prix montent. Mais pour le reste c’est juste par appât du gain : les touristes estivaux, en Croatie, sont des vaches à lait, autant le dire clairement. Si vous venez au printemps ou à l’automne, vous aurez une expérience totalement différente, avec des prix beaucoup plus raisonnables.

Mon conseil : si vous avez un petit budget, n’hésitez pas à décaler de quelques semaines vos vacances en Croatie, afin de tomber dans une période plus creuse. Vous allez facilement économiser 20 à 40% sur l’ensemble de vos dépenses !

> Plus de tranquillité dans les endroits très touristiques

Plitvice hors saisonLes lacs de Plitvice à la mi-mai, au petit matin… 

En haute saison, les endroits touristiques du pays sont littéralement pris d’assaut. Pour vous donner une idée, il y a carrément une file d’attente pour pouvoir pénétrer dans la vieille ville de Dubrovnik, avec des sens de circulation pour les piétons, tant l’endroit est bondé. Hors saison, même si cela peut arriver qu’il y ait encore beaucoup de monde, c’est tout de même déjà plus respirable.

C’est la même chose pour les parcs nationaux : si vous voulez goûter à la sérénité des lacs de Plitvice ou des chutes de Krka, juillet-août est la pire période tant il y a du monde sur les étroits sentiers. C’est littéralement des kilomètres de queue-leu-leu dans les chemins. Quand vous êtes pris dedans, vous ressentez constamment la pression de la foule derrière vous qui vous force à avancer pour éviter d’être bousculé. Pas le temps de se poser pour admirer le décor, il faut suivre le mouvement. A titre personnel, je trouve ça hyper désagréable, et je ne comprends pas comment on peut savourer une nature aussi belle en étant autant soumis à la pression des humains autour de nous.

Heureusement, dès que vous sortez de la très haute saison, cela redevient respirable, tant dans les villes très touristiques que dans les parcs nationaux. En mai-juin et en septembre il y a encore du monde, mais on n’a plus la sensation d’étouffement de l’été. Et si vous vous éloignez encore des beaux jours, là ça devient royal : je me rappelle d’une visite de Plitvice en plein mois de janvier, alors que le thermomètre ne dépassait pas zéro degrés, j’avais les lacs pour moi tout seul, c’était grandiose.

> Immersion plus authentique dans le pays

C’est la conséquence du point précédent : plus il y a de touristes, plus il est difficile d’avoir de vraies interactions avec les habitants. Vous n’êtes qu’un visiteur parmi d’autres. En revanche, si vous venez clairement hors saison, alors vous aurez la possibilité de découvrir les croates sous une autre facette, plus authentique, notamment sur les marchés quotidiens où je vous encourage à vous rendre (posez-vous aux terrasses avec les locaux !).

Venir hors saison ça permet de découvrir la Croatie autrement que via les rouages du tourisme de masse, bien rodés, qui asseptisent toutes les relations humaines en particulier sur la côte adriatique.

> Moins de forte chaleur

Split hors saisonL’une des plages de Split, fin septembre : compromis idéal entre affluence touristique modérée et températures douces.

L’un des gros avantages de la Croatie hors saison, c’est la météo particulièrement agréable au printemps et en début d’automne. Fin avril, mai, voire début juin, les températures sont déjà très douces en journée — autour de 20 à 25°C — avec de belles journées ensoleillées et une mer qui commence doucement à se réchauffer – bon, ça reste difficilement baignable à moins d’être allemand, britannique ou normand, mais on peut mettre les pieds dans l’eau !

En septembre et octobre, la chaleur estivale retombe doucement, ce qui offre des conditions idéales pour visiter les villes ou randonner sans suffoquer sous un soleil de plomb. Là, la mer est généralement agréable car elle s’est réchauffée tout l’été et n’a pas encore réellement commencé à refroidir.

Évidemment, on parle ici hors hiver : dès novembre, les températures chutent franchement, surtout à l’intérieur des terres, et le risque de pluie/neige augmente nettement. Mais pour ceux qui partent entre avril et octobre hors juillet-août, le compromis météo est souvent excellent : du ciel bleu, des températures jamais trop élevées mais rarement trop fraîches (sauf à la nuit tombée). Pour moi, c’est la meilleure période pour venir en Croatie quand on a envie de passer des vacances actives (rando notamment) ou pour les familles avec des jeunes enfants qui cherchent à éviter les pics de chaleur.

Voilà en gros pour les principaux avantages de partir en Croatie hors saison : météo plus douce, prix moins élevés, davantage de tranquillité, et habitants plus abordables.

On récapitule les avantages de la Croatie hors saison :

Avantage Pourquoi c’est un plus
🟢 Météo plus douce Températures agréables au printemps et en automne, idéales pour visiter sans étouffer
💶 Prix moins élevés Hébergements, restaurants et activités souvent 20 à 40% moins chers qu’en plein été
🧘 Plus de tranquillité Moins de foule sur les sites touristiques, expérience plus détendue
🤝 Habitants plus abordables Moins de saturation donc interactions plus authentiques avec les locaux

 

Les inconvénients de partir en Croatie hors saison :

Passons désormais aux inconvénients de venir en Croatie hors saison.

> Moins de choix pour les vols

île de Krk hors saisonSur l’île de Krk, au début du printemps, avant que les touristes n’affluent…

D’abord, le premier inconvénient, c’est qu’il y a moins de vols pour la Croatie dès que l’on sort de la haute saison touristique, et surtout moins de choix en destinations possibles. De nombreuses liaisons aériennes, en particulier celles des compagnies low-costs, s’arrêtent de fonctionner dès la saison touristique terminée. En général, cela n’affecte pas les mois de juin et septembre, mais si vous voulez venir un peu plus tôt ou un peu plus tard dans l’année, vous aurez largement moins de choix qu’en plein mois de juillet. L’avantage, je le disais plus haut, c’est que lesdits billets coûtent sensiblement moins cher à ces périodes.

Parmi les aéroports de Croatie qui peuvent disparaître hors saison, il y a celui de Zadar, qui est pourtant une porte d’entrée intéressante dans le pays du fait de sa position géographique, proche d’une bonne partie des points d’intérêt majeurs du pays. Zagreb, Split et Dubrovnik restent généralement accessibles au printemps et à l’automne, mais le nombre de vols chute drastiquement (en particulier pour Split). Pula a tendance à disparaître des radars, aussi, à partir de la fin septembre, et à ne réapparaître qu’à partir de fin mai ou début juin. En hiver, généralement il n’y a que Zagreb qui reçoit du trafic aérien fréquent en provenance de la France.

Bref, ça va limiter un tout petit peu plus vos choix, mais vous trouverez facilement une solution alternative : atterrir dans un plus gros aéroport et rejoindre votre destination finale en bus/train par exemple.

> Beaucoup de restaurants fermés

En haute saison, les restaurants croates tournent à plein régime : de la fin de matinée jusque tard le soir, ils sont ouverts en continue, 7 jours sur 7. Ça enchaîne dur ! Alors forcément, dès que l’afflux de touristes se tarit, les restaurateurs lèvent le pied, et certains ferment totalement leurs portes pour ne rouvrir qu’à la saison suivante.

Dans les grandes villes, vous aurez toujours des restos ouverts, ne serait-ce que pour les locaux. Mais dans les petites stations balnéaires qui vivent quasi intégralement du tourisme, cela arrive assez souvent que tous les restaurants ferment, et qu’il n’y ait plus rien d’ouvert à partir d’octobre et jusqu’en mai suivant.

> Moins d’activités disponibles

Rovinj, en Istrie, l’une des plus jolies villes du pays…

Le même phénomène que pour les restaurants s’applique aux activités. Les excursions organisées sont nombreuses en juillet-août, puis encore largement suffisantes en juin et septembre, mais en dehors de cela, elles peuvent être rares voire inexistantes. Soit parce que les agences qui le proposent sont fermées, soit parce que la météo ne s’y prêtera plus. Je pense notamment aux parcs nationaux, dont une bonne partie est fermée en hiver (à Plitvice, seule la moitié du parc est visitable l’hiver, par exemple). Les aménagements de plage (structures gonflables pour les enfants, délimitation des zones de baignade, etc) ne sont souvent installés qu’à partir de juin et retirés en septembre. Les loueurs de kayak, jet-ski, etc, pareil : vous ne trouverez plus beaucoup de boutiques d’ouvertes après la mi-septembre, et à partir d’octobre il n’y aura plus personne. C’est d’autant plus vrai dans les petites stations balnéaires, qui accueillent beaucoup de monde au cœur de l’été, mais qui se voient désertées dès les premières fraîcheurs de l’automne.

Autrement dit, je vous invite à choisir avec soin votre destination de vacances en Croatie si vous venez trop hors saison (c’est-à-dire avant la mi-mai ou après la mi-octobre). Plus vous vous éloignez de la saison touristique, plus je vous recommande de choisir une « grosse » ville pour vos vacances, sinon vous risquez de tomber dans un endroit fantôme : restaurants fermés et activités proposées raréfiées ou carrément inexistantes. A voir selon ce que vous recherchez, évidemment, mais c’est à garder dans un coin de votre tête.

> Des liaisons en transports en commun plus rares

Un autre inconvénient non négligeable lorsqu’on voyage en Croatie hors saison, c’est la réduction des liaisons en transports en commun. C’est particulièrement vrai pour les bateaux vers les îles, qui fonctionnent à plein régime en été, avec plusieurs rotations par jour, mais qui passent parfois à une seule traversée quotidienne, voire aucune certains jours en hiver. J’ai encore failli me faire piéger très récemment pour me rendre sur l’île de Rab depuis Rijeka : il n’y avait qu’un seul ferry par jour, même début juin ! Mieux vaut donc bien vérifier les horaires à l’avance, sous peine de se retrouver coincé, ou de devoir revoir tout votre itinéraire.

Les liaisons par bus sur le continent sont elles aussi un peu moins fréquentes hors saison. Les trajets entre les grandes villes (Split, Zagreb, Zadar, …) restent assurés mais on peut parfois diviser par deux le nombre de liaisons par jour. Pour les bourgades ou les villages, en particulier les destinations balnéaires, là les liaisons sont parfois carrément suspendues (ou en tout cas deviennent très espacées – genre quelques trajets par semaine, pas davantage). Il faut donc prévoir plus de flexibilité dans votre emploi du temps, voire envisager la location d’une voiture (c’est très peu onéreux hors saison), surtout si vous souhaitez explorer les coins reculés du pays.

Bref, sans être bloquant – je fais la quasi intégralité de mes explorations en Croatie hors saison touristique – , ce point mérite d’être anticipé : voyager hors saison demande un peu plus d’organisation, surtout si vous comptez bouger beaucoup ou visiter plusieurs îles.

> La sensation d’être dans des villes-fantômes dans certains cas

Le centre historique de Pula, fin octobre…

Hors saison, certaines villes croates, surtout celles très tournées vers le tourisme estival, peuvent donner l’étrange impression d’être complètement désertes. Boutiques fermées, volets clos, rues vides… On a parfois l’impression de se promener dans un décor abandonné, loin de l’ambiance animée qu’on imagine en regardant les photos sur internet. Je me rappelle par exemple de mon premier séjour à Pula, à la fin octobre, où j’ai trouvé le centre historique totalement vide, où à part une ou deux exceptions, les cafés et les restos étaient fermés. C’était hyper étonnant, d’autant plus que la ville n’est pas petite, mais à force d’accueillir massivement du tourisme, la vraie vie « croate » s’était déplacée hors du centre historique, et en l’absence des touristes, le centre était totalement inanimé. Difficile de s’enthousiasmer pour une destination quand on déambule dans une ville-fantôme.

J’ai ressenti un peu la même chose dans la station balnéaire de Starigrad-Paklenica, où j’étais au début du printemps, mais je m’y attendais davantage puisque, s’agissant justement d’une station balnéaire, je savais d’avance que tout ou presque serait fermé. Cela ne m’a pas empêché de profiter du parc national de Paklenica, absolument merveilleux (et d’autant plus agréable à parcourir que j’y étais quasi seul !).

Généralement, ce sont les stations balnéaires et les petites villes qui vont donner cette impression fantomatique. J’ai mentionné Pula plus haut, mais Rovinj peut faire cet effet là si vous venez trop hors saison également, et même Zadar où je me suis rendu un grand nombre de fois à toute époque de l’année : entre octobre et avril, la ville semble trop grande pour le peu de locaux qui y déambulent, ce n’est pas totalement vide, là, mais ça fait quand même une drôle de sensation.

Ceci dit, c’est un aspect qui peut plaire à certains — pour le calme et la solitude — mais qui peut surprendre si on ne s’y attend pas, et provoquer un sentiment un peu particulier.

> Une météo plus aléatoire

Pas de pluie, mais de la grisaille, pour visiter le parc national de Krka en octobre…

C’est l’un des risques classiques quand on voyage hors saison : la météo devient plus difficile à prévoir. En Croatie, à partir d’octobre (et parfois dès septembre selon les années), les journées ensoleillées peuvent alterner avec des épisodes de pluie assez intenses. Le ciel peut passer du grand bleu à la grisaille en quelques heures, ce qui peut chambouler pas mal de plans, surtout si vous vouliez profiter de la mer ou de la nature pour randonner. Plus particulièrement, la météo est surtout changeante en Istrie et dans le golf du Kvarner. La Dalmatie semble plus à l’abri des caprices météorologiques (allez savoir pourquoi). Ça me rappelle un peu la Bretagne ou la Normandie, pour ceux qui connaissent, en terme de rapidité de changement de météo.

Avant juin, c’est pareil : même si globalement on peut s’attendre à du soleil et à de la douceur, cela reste moins certain qu’en pleine saison estivale. Lors de ma dernière visite en Croatie au printemps, j’ai eu une grosse semaine de grisaille à la fin du mois de mai. Cela ne m’a pas empêché de sortir randonner et flâner dans les villes et villages que je voulais découvrir, mais pour l’aspect estival, la plage et le bronzage, c’est quand même moins cool.

Un autre phénomène météo typiquement croate à connaître : la bora. Un vent froid, sec et violent qui souffle depuis les montagnes vers la mer Adriatique, parfois pendant plusieurs jours d’affilé. Elle peut faire sembler au Mistral par certains aspects. La bora se manifeste surtout en automne et en hiver, mais vous ne serez pas à l’abri d’un coup de vent au printemps non plus, même si c’est plus rare à partir de mai. Ce n’est pas quelque chose de dramatique, mais ça surprend la première fois qu’on y est confronté (surtout si on est en t-shirt…).

En résumé, hors saison, il faut prévoir des vêtements pour tous les temps, ne pas trop compter sur une météo stable (même si globalement vous devriez avoir plutôt beau temps), et garder un peu de flexibilité dans votre programme pour adapter vos visites en fonction du ciel. Ce n’est pas forcément un frein, mais c’est un paramètre à garder en tête, surtout si vous rêvez d’un séjour 100 % farniente.

À prévoir dans vos bagages pour la Croatie hors saison :
– Un k-way ou coupe-vent, au cas où
– Un pull pour le soir (ou même en journée selon les années / votre niveau de frilosité)
– Un maillot de bain… mais sans garantie 🙂

Le récap des inconvénients de venir en Croatie hors saison

Inconvénient Ce que ça implique concrètement
✈️ Moins de choix pour les vols Moins de liaisons directes, parfois nécessité d’escales ou de trajets plus longs
🍽️ Restaurants et bars fermés Ambiance moins animée, options limitées pour se restaurer, surtout dans les petites villes
🎟️ Moins d’activités proposées Certaines excursions, tours ou animations estivales ne sont pas disponibles
🚌 Transports en commun plus rares Bus et ferrys moins fréquents, parfois pas de traversée vers certaines îles
🏚️ Villes à l’ambiance fantomatique Certains lieux très touristiques peuvent sembler déserts hors saison
🌦️ Météo plus imprévisible Alternance soleil/pluie, risque de vent fort (bora), moins de garantie côté bronzette

Mon bilan perso de la Croatie hors saison :

Même si techniquement il y a plus de points « négatifs » que « positifs », je trouve que les avantages à venir en Croatie hors saison surpassent largement les inconvénients. Rien que pour éviter les prix délirants et la foule, ça vaut le coup.

En tout cas, personnellement, j’ai fait mon choix depuis longtemps : en haute saison estivale, soit je reste à Zagreb et je profite avec les copains qui sont là aussi, soit je ne suis carrément pas en Croatie. En revanche, dès les premiers rayons de soleil du printemps – dès le changement d’heure en réalité, pour gagner un peu en ensoleillement -, je me remets à explorer le pays dans les moindres recoins, et je me régale !

Si vous hésitez encore à partir en Croatie hors saison, ce petit tableau récapitulatif vous aidera à y voir plus clair 👇

✅ C’est pour vous si… ❌ Ce n’est pas pour vous si…
Vous n’aimez pas la foule Vous voulez absolument pouvoir vous baigner et bronzer
Vous avez un petit budget (ou vous refusez de payer 3x le prix en été) Vous voulez impérativement du soleil et de la chaleur
Vous préférez éviter les fortes chaleurs ou vous vous fichez un peu de la météo L’idée de villes calmes ou désertes vous déprime
Vous êtes débrouillard et adaptable, ou vous êtes prêt à louer une voiture  

A vous de voir si cela peut vous convenir.

> Comment soutenir concrètement mon travail

Voilà, on arrive au terme de cet article, j’espère qu’il vous aura aidé à y voir plus clair sur les avantages et les inconvénients de chaque saison en Croatie. Si c’est le cas, pensez à le partager à vos compagnons de voyage, et à vous abonner à mes réseaux sociaux pour être au courant de mes futurs articles.

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Ah, et si vous avez des envies de générosité spontanée, vous pouvez aussi me faire un don sur cette page. C’est toujours très apprécié.

Voilà, il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un bon séjour en Croatie, peu importe la période que vous choisirez !

A bientôt sur mon blog,

Jérémy